12 septembre 2008

On s'ennuie jamais quand on est parano - la vérité sur le 11 septembre (2e partie)

Ceci est la deuxième partie d'une série de quatre: pour les autres parties, cliquez ici: 1ère partie, 3e partie, 4e partie

Ça c'était pour le World Trade Center (en fait il y en a encore mais j'y reviendrai); on pourrait s'imaginer que nos conspirateurs s'en seraient satisfait, mais c'est mal connaître la philosophie des disciples de Rube Goldberg: quand ils se mettent en tête de faire dans l'alambiqué, ils n'y vont pas avec le dos de la cuiller. Ils allaient pour le Pentagone faire preuve d'encore plus d'imagination dans le rocambolesque.

étape 6L'idée de départ était bien sûr d'envoyer un autre avion, mais encore une fois, pourquoi ne pas fignoler un peu? Détourner un avion et l'écraser sur le Pentagone, c'est plus élaboré que de poser des bombes, mais il y a encore place à l'amélioration. Au lieu d'un avion, les conspirateurs ont donc décidé d'envoyer un missile. Ils ont ainsi subtilisé le missile en question au nez et à la barbe de la Défense américaine – soit un AGM-86D, soit un avion de reconnaissance Global Hawk au préalable modifié avec une charge spécialement conçue à l'aide de la technologie "BROACH" – l'ont camouflé aux couleurs de la American Airlines, l'ont discrètement amené sur une piste de l'aéroport Ronald Reagan d'où ils l'ont lancé en direction du Pentagone. Pendant ce temps, le vol 77 fût détourné puis tout comme les vols 175 et 11 s'est dirigé vers un point de rendez-vous fixé à l'avance avec le missile qu'il a croisé en échangeant leurs signatures radar pour encore une fois berner les contrôleurs aériens.

étape 7Pendant ce temps, un C-130 suivait le Boeing, afin dans un premier temps de guider le UAV-converti-en-missile-Cruise par radio, et dans un deuxième temps de fournir une distraction visuelle aux centaines de témoins pour les empêcher de réaliser qu'un Boeing 757 ressemble à un missile de croisière dans la mesure où un clafoutis au bigarreaux marmottes non dénoyautées ressemble à un cul - ce qui soit dit en passant n'empêchera pas la majorité d'entre eux de les confondre malgré tout.

étape 8Alors que le missile/avion de reconnaissance se dirigeait vers le Pentagone, le vol 77 lui, atterrissait sur une piste dérobée et le scénario se répétait: éxécution des passagers, débitage de l'avion et retour avec les morceaux sur le site du crash juste à temps pour que l'enquêteur Allyn Kilsheimer puisse y trouver morceaux de queue, débris de fuselage, boîte noire, lambeaux d'uniformes et même morceaux de restes humains. Ils ont vraiment pensé à tout, jusqu'aux détails les plus macabres.

étape 9Il leur restait encore des dizaines de petits détails à régler: abattre quelques lampadaires pendant que tout le monde regardait ailleurs pour faire croire au passage d'un Boeing; agrandir le trou d'impact au pied du mur atteint pour ne pas que les observateurs puissent se demander comment un drone de la largeur d'un Boeing 757 aurait pu laisser un trou d'à peine 25 mètres de large, renverser une génétratrice extérieure pour donner l'illusion qu'elle a été frappée par un moteur, faire disparaître les enregistrements des caméras de surveillance où un missile serait visible... Pour le trou il faut bien admettre qu'ils ont un peu bâclé, mais enfin, personne n'est parfait. Dans les compétitions d'effet dominos, il arrive qu'une des pièces refuse de tomber sur l'autre et il faut alors un coup de pouce pour poursuivre la chaîne. Déduisons leur 1 point et passons.

euh...étape 9Autre détail important: il leur restait encore à faire disparaître toute trace du missile, autant sur le site de l'impact que dans l'inventaire de l'armée américaine qui on s'en doute ne manquerait pas autrement de s'étonner de la disparition d'un drone d'une centaine de millions de dollars, à plus forte raison un prototype spécialement équipé d'une technologie encore expérimentale à l'époque – autrement dit "secret défense". On peut noter au passage l'efficacité exemplaire de nos conspirateurs à couper à travers le légendaire "red tape" du département de la Défense américaine, où semble t-il il faut 7 formulaires et quatre semaines juste pour changer une ampoule. La vitesse avec laquelle ils ont retracé toutes les personnes concernées et collecté tous les documents pertinents sans laisser de traces est tout simplement admirable, même en supposant qu'ils étaient de la place.

Bon, il reste encore Shanksville; la suite demain.

Au passage, un lien qui n'a pas vraiment rapport, mais qui ne manque pas d'ironie vu les circonstances (regardez la date)

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