11 septembre 2008

On s'ennuie jamais quand on est parano - la vérité sur le 11 septembre (1ère partie)

Ceci est la première partie d'une série de quatre: pour les autres parties, cliquez ici: 2e partie, 3e partie, 4e partie

J'ai découvert qui a perpétré les attentats du 11 septembre, ou plus exactement qui en est le maître d'oeuvre: Rube Goldberg. Si vous savez pas c'est qui, vous pouvez toujours consulter WikiPedia (en anglais), mais pour résumer, Rube Goldberg est un bédéiste célèbre pour avoir conçu dans ses cartoons d'innombrables machines toutes plus abracadabrantes les unes que les autres, au point que son nom est resté dans le langage pour désigner le genre: si vous avez déjà joué à Mousetrap quand vous étiez jeune, vous avez vu l'exemple classique d'une "machine rube goldberg".

Quel lien avec le 11 septembre? Eh bien, aucun, si vous croyez à la thèse officielle, à savoir celle qui veut qu'Osama Ben Laden, à la tête d'un réseau terroriste international, aurait pigé dans sa réserve apparemment inépuisable de tordus fanatisés 19 des mieux formés (incluant une demi-douzaine possédant une expérience de pilote) et les aurait envoyé détourner des avions de ligne pour les utiliser dans un raid suicidaire contre trois monuments symbolisant les trois pôles du pouvoir américain (gouvernement, banques, armée). Simple, efficace, badabing badaboum, pas de complications inutiles, pas de tataouinage; même si le succès n'a pas été complet, la beauté du plan réside dans sa simplicité, en n'impliquant au plus qu'une trentaine de personnes. Keep it simple, stupid.

étape 1Mais comme vous le savez, la vraie histoire est pas mal moins simple. Les tours du WTC pour commencer: juste crasher deux Boeing à pleine vitesse est déjà suffisant pour attirer l'attention, mais les tours étaient censées être conçues pour résister à ce genre d'accident, ce qui fait que l'effondrement n'était pas garanti. Pour être certain qu'elles tombent, il a donc fallu poser des bombes dans les tours. Ça rend les avions un peu redondants, pour ne pas dire franchement superflus, mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.

étape 2Puis tant qu'à envoyer des Boeing, pourquoi pas élaborer un peu et crasher des avions militaires à la place? Les conspirateurs ont donc peint des avions-cargos aux couleurs de la American Airlines et de la United Airlines, puis ont caché un missile dans chacun d'eux, dans des protubérances spécialement amménagées sous le fuselage. Les deux avions ont alors foncé dans les tours en envoyant leur missiles une fraction de seconde avant l'impact, tel un kamikaze fonçant dans une maison avec son semi-remorque mais se donnant tout de même la peine de tirer un balle de .45 d'un revolver qu'il a pris soin au préalable de dissimuler sous la calandre. On se doit de lever notre chapeau devant le dévouement de nos conspirateurs à la cause de la complexité inutile.

étape 3Mais ils ne sont pas arrêtés là, bien au contraire. Ils auraient pu se contenter de poser leurs bombes sans trop se préoccuper où, mais encore une fois, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. Ils ont ainsi placé leurs charges de manière à provoquer une démolition contrôlée; au lieu de s'effondrer plus ou moins n'importe comment, les tours se sont affaisées de façon prévisible, chaque étage tombant sur celui en-dessous avec une constance qui frisait l'élégance. Avouez que ce n'est pas tous les jours qu'on voit des terroristes qui se donnent la peine de déconstruire méthodiquement leur cible au lieu de bêtement tout faire péter comme de coutume, d'autant plus qu'ils ont réussi à tromper la National Institute of Standards and Technology qui croit encore que le feu est la seule cause de l'effondrement du World Trade Center.

étape 4Il leur restait maintenant à régler l'épineuse question des passagers disparus. Tout simplement inventer leurs identités n'aurait pas suffit, car il restait encore le problème de deux avions de ligne qui devraient normalement manquer dans l'inventaire. Ils ont donc détourné les deux vols en question vers New-York, où ils ont croisé les deux avions-cargos à un point de rendez-vous préétabli puis ont éteint leurs transmetteurs, enclenché un système de brouillage radar qu'ils avaient au préalable installé à bord en catamini, puis ont tranquillement poursuivi leur chemin en prenant soin de saisir tous les cellulaires des passagers, pendant que les contrôleurs aériens qui n'y ont vu que du feu continuaient à suivre les avions piégés sur leurs écrans radar.

étape 5Ils ont finalement atterri sur une piste dérobée, où ils ont froidement assassiné tous les passagers et membres d'équipages, puis ont débité les deux avions et ont ramené quelques morceaux aux alentours du WTC, incluant les enregistrements de vol, et surtout – ah ils sont forts! – un morceau du fuselage qu'ils ont crapahuté jusqu'au sommet du WTC5 et ce au nez et à la barbe de tous les badauds assistant à la scène, incluant les policiers qui avaient pourtant bouclé tous le secteur. Et tout ça alors qu'ils auraient tout simplement pu se contenter de bourrer quatre ou cinq camions d'explosif, de les parquer dans le stationnement sous les tours et de sortir mine de rien. Je le redis, et je tiens à insister sur ce point, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.

Et quand je dis compliqué, le mot est faible. Si vous vous imaginez que c'est tout, détrompez-vous, ça ne fait que commencer. Mais ça commence à faire un peu long, alors je vais arrêter là pour le moment. La suite demain.

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